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Jérôme Peignot (vu par…)
- 2021. Jean-Didier Wagneur.
«
Jérôme Peignot, une éternité d'attente
», Libération, 29 mai
[archive]
- 2020. Florence
Trocmé. « L'applaudissement
des anges ». Poezibao, 21
décembre [archive]
- 2019. Lycée
de l'Iroise (Brest, France) et Liceo
Cecioni (Livourne, Italie). « Fulguration
- Jérôme Peignot ». i-voix.net,
20 juin [archive]
- 2017. Jérôme
Garcin. « Souvenirs.
Peignot et les siens ». L'observateur,
6 avril [archive]
- 2017. Dominique
Hasselman. « L'arsenal littéraire
de Jérôme Peignot II ». Métronomiques.
Article illustré de 7 photos
- 2017. Dominique
Hasselman. « L'arsenal littéraire
de Jérôme Peignot I ». Métronomiques.
Article illustré de 7 photos et 1
extrait audio
- 2017. Alain
Roussel. « Jérôme Peignot
et ses amis célèbres », En
attendant Nadeau [archive]
- 2017. Jean-Claude
Leroy. « Jérôme Peignot
a peint des “Portraits en miroir” ».
Mediapart. (26 juillet) [archive]
- 2017. Michel
Lansade. « Portraits en
miroir ». Encres vagabondes
(15 avril) [archive]
- 2017. Fr.
M.. « En
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un homme d'écritures ». L'Yonne
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: Christian Dotremont, Roland
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Université de Montréal et Université de
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(« Paris-Sorbonne »),
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- 2012.
Rémy
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[rue des Cascades, 2009] ». Le
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- 2012. Correcteurs.
« Jeux de l’amour,
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Martine et Olivier, camarade de casse
- 2011.
onarretetout.
« Des lettres en
chiffres ». main tenant,
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- 2011.
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- 2011.
Jeff
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blog
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Michèle
Crès. « De l’amour, de
la poésie et de la subversion ».
Compte-rendu de Les Jeux de l’amour
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contretemps, bulletin de critique
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- 2009.
Dominique
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écrivain, au pays de
l’Androgyne ». Le
Chasse-clou, blog
- 2009.
« Amours, délices
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Nº 18 septembre
- 2006.
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consacrée à "Le pied de la lettre. Aux
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Marie-Hélène Pottier. Réalisation:
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- 2005.
Dominique
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Jérôme Peignot : "amour, poésie,
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- 2005.
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Jean-Maurice
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Sonia
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Marques)
°?o,¸¸¸,o?°`°?o,¸¸¸,o?°`°?o</? »
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Éric
Dussert (entretien). « Les mots et les
choses », Le Matricule
des Anges. Numéro 19 de mars-avril
1997 [archive]
-
« Avec Typoésie. Jérôme
Peignot avait fait œuvre
d’encyclopédiste, de compilateur, et
on sait combien il excelle dans ce
genre. Mais Peignot est aussi
écrivain (son dernier roman est Un
printemps à Pékin) et créateur. Il
fallait donc s'attendre à ce qu'il
cumule sa typoésie graphique et ses
talents de conteur d'histoires
d'amour. Voilà qui est fait avec Toutes
les pommes se croquent, où bien
sûr pomme rime avec apple.
Il double la mise avec un Petit
Peignot illustré. dictionnaire
humoristico-érotico-typographique.
Deux tout petits livres sans aucune
“utilité” et qui n'ont donc aucune
raison de figurer dans une
bibliothèque sérieuse. Mais j'ose
espérer que celles des lecteurs de
cette Lettre ne le sont pas toutes..
»
- 1996.
« “Les mots et
les choses” : deux livres de Jérôme
Peignot ». Communication
et langages. Nº 109,
3e trimestre, pp. 63-69
- 1996.
Bernard
Noël sur Puzzle II
- « Michel-Ange disait : “
Étant donné un bloc de marbre, si on
enlève ce qui est de trop cela fait
une statue. ” Étant un brouillon, si
on supprime les scories cela
débouche sur un roman. Enfin, étant
donné un journal, si on biffe les
redites, les anecdotes, les idées
non abouties, cela crée le roman
d'un esprit ; un puzzle. C'est ce
que, dessiné par Laurent Cocchi, le
cartouche qui figure sur la
couverture de ce livre, exprime de
manière implacable. Peignot, ce
passionné d'écriture pour qui le
signe fait partie intégrante de
toute littérature, ce romancier, cet
essayiste est l'auteur de ce PUZZLE. »
- 1994.
Jean
Clément. « Typoésie »,
Université de Paris VIII [archive]
- « Cette anthologie de
"compositions tant littéraires que
plastiques dont le dénominateur
commun est tel que le fond et la
forme sont rigoureusement
indissociables" est composée de
cinq parties : Typographie, Poésie
visuelle, Chiffres, Peinture,
Musique.
Ce mode d'expression est vieux
comme le monde. Comme Claudel
l'évoquait : "Les mots ont une
âme, et dans le mot lui-même, on
trouve autre chose qu'une espèce
d'algèbre conventionnelle. Entre
le signe graphique et la chose
signifiée, il y a un rapport. Tout
aussi bien que la chinoise,
l'écriture occidentale a pour
elle-même un sens d'autant mieux
que, tandis que le caractère
chinois est immobile, le mot
marche." Rimbaud, Mallarmé,
Appolinaire, les futuristes, les
dadaïstes, sont les précurseurs
indirects de la "typoésie".
En 1944, en Allemagne, Eugen
Gromringer donne un nouveau
souffle à ce mode d'expression en
inventant avec quelques amis la
"poésie visuelle". Son premier
recueil de poèmes visuels est
publié en 1953 sous le titre
Konstellationen. A chaque poème,
il s'agissait de "reproduire cette
constellation de mots apparaissant
à la faveur d'une impulsion
créative donnée". La même année au
Brésil, paraît un recueil qui
s'apparente à cette démarche :
Poetamenos du groupe Noigrandes
composé des frères Augusto et
Haroldo de Campos, et de Decio
Pignatari. En 1956, Pignatari
invente le terme de Poésie
concrète, auquel souscrit aussitôt
Gromringer. L'inspiration
revendiquée est la civilisation
contemporaine (comme le Pop Art).
Elle prend une forme parfois
contestataire (dissidence tchèque,
logo solidarnosc), parfois
publicitaire (logo Newman),
parfois simplement poétique, mais
toujours concise. La
simplification du poème à un mot
ou un groupe de lettres fait écho
à la simplification formelle de la
langue courante.
"La poésie nouvelle est, dans son
tout et dans ses parties, simple
et visible d'un seul coup. Elle
devient objet à voir et à
utiliser. Objet de pensée, elle
attache par sa brièveté et son
extrême concision; elle est
mémorable; elle s'exprime dans la
mémoire comme image; elle sert à
l'homme d'aujourd'hui par son
caractère de jeu objectif et le
poète la sert par le don qu'il a
pour le jeu." Grominger à
Pignatari.
Ce courant est transnational :
Europe, États-Unis, Japon, Brésil.
Au sein de l'hexagone, Pierre
Garnier explore le concept de
"poésie spatiale" (par exemple, le
mot horizon avec le O plus haut,
comme le soleil). Henri Chopin et
Bernard Heidsieck développent
l'école visuelle et phonétique
française. Michel Leiris conçoit
des poèmes visuels en jouant sur
les sonorités des mots et en les
agençant pour faire émerger
d'autres sens.
Se pose le problème de l'évolution
de cette poésie qui semble avoir
atteint une impasse. La tendance
décadente de la poésie concrète
est le visuel pour le visuel,
indépendamment du signifiant. Les
artistes œuvrent alors dans le
sens d'une décomposition de
l'écriture : Julien Blaine,
Christian Dotremont, Hains et
Villeglé, Barthes avec ses
"contre-écritures"... »
- 1994.
Jean
Clément. « Typoésie. Jérôme
Peignot », Université de
Paris VIII [archive]
- « Que les lettres de
l'alphabet soient indispensables à
la manifestation de la pensée est
certain. Pourtant, nombreux sont
ceux qui l'oublient ou le nient.
Cet ouvrage regroupe des
compositions tant littéraires que
plastiques dont le dénominateur
commun est tel que le fond et la
forme y sont rigoureusement
indissociables, ce qui n'est pas
le cas des calligrammes. Il
fallait donc trouver un terme
adéquat pour les désigner. Avec ce
mot TYPOÉSIE qu'il a forgé et
auquel il a donné l'aspect
graphique reproduit sur la page de
titre, Peignot met en évidence
l'existence d'un genre poétique à
part entière.
Pour montrer que cette poésie se
manifeste en ayant recours aussi
bien aux lettres et à la
ponctuation qu'aux chiffres et aux
notes, cette anthologie est
divisée en cinq parties:
Typographie, Poésie visuelle,
Chiffres, Peinture, Musique.
Regroupant des œuvres
typographiques de premier plan,
comme celles de Zwart, le Bifur de
Cassandre ou les somptueuses
trouvailles de l'Américain
Lubalin, le chapitre intitulé
“Typographie” démontre que les
premiers à générer la poésie sont
les caractères eux-mêmes.
Peignot rend hommage ensuite à la
poésie visuelle apparue en
Allemagne dans les années
cinquante avec Gomringer, Mon et
Rühm. Des poètes brésiliens,
Pignatari et les frères Campos, en
ont fait peu après de véritables
chefs-d'œuvre. Puis ce fut le tour
des poètes italiens, britanniques,
espagnols et américains d'enrichir
la typoésie, devenue avec eux un
nouveau mode d'expression tantôt
contestataire tantôt publicitaire.
Peignot avoue sa fascination pour
les typoèmes d'Ockerse, de Solt,
de Williams et de Xisto qui, par
leur perfection plastique,
témoignent que, d'abord composée
d'idéogrammes, après 3500
d'existence alphabétique,
l'écriture y revient. Ainsi, des
poètes tels Dotremont, Roubaud ou
Crombie se montrent à ce point
habiles à s'introduire entre le
visible et le lisible, qu'on ne
sait plus de quel art relève leurs
œuvres: de l'art graphique ou de
la poésie.
Le troisième chapitre est consacré
aux typoèmes de nombres. De cet
ensemble ressort qu'en effet les
mots comptent.
Ensuite, Peignot regroupe les
typoèmes de peintres qu'il a
découverts à la faveur de ses
recherches. Ce faisant, il atteste
qu'Adami, Dupuy, Fauconnet, Hains,
Kolar ou Melin sont capables de
rivaliser d'adresse avec Duchamp,
El Lissitzky, Magritte ou Matisse.
Enfin dans “Musique”, Typoésie
réunit quelques-uns des plus beaux
typoèmes musicaux connus à ce
jour. J.-S. Bach, Gounod, Pobst,
Ravel, Schönberg, Webern, chacun à
sa manière, nous assurent que,
même sur le plan visuel, il est
possible de faire revenir
l'abstraction musicale au berceau
du concret, chaque compositeur se
mettant à la portée de ceux qui ne
lisent pas les notes.
Chaque fois que le besoin s'en est
fait sentir, Peignot s'est référé
aux explications que les auteurs
ont fournies sur leur oeuvres.
Ainsi on trouvera des textes de
Leiris, Cassandre, Guy Levis Mano,
Raymond Gid, El Lissitzky, Pierre
et Ilse Garnier, Excoffon,
Dotremont... et Alexandre Sorel
pour ce qui concerne la musique.
D'un bout à l'autre de Typoésie,
les œuvres se répondent, elles
contribuent à l'élaboration moins
d'une anthologie, au demeurant
infaisable tant la matière est
riche, que d'un livre d'auteur.
Pour en savoir plus sur Jérôme
Peignot, lire l' article paru dans
Le Matricule des Anges.
Numéro 19 de mars-avril 1997.
http://www.lmda.net/mat/MAT01966.html
»
- 1994.
Stéphane
Baillargeon. « Jérôme Peignot,
l'orfèvre de la lettre ». Le
Devoir. N° 19 février
- 1993.
Sophie
Bassouls. Deux portraits
photographiques
- 1991.
Bernard
Noël. « La photo
mentale », Les lettres
françaises. Nº 7 (mars), p.
11
- 1989. Gérard
Blanchard. « Jérôme Peignot
Affiches — Posters Air France —
1933-1983 », Communication
et langages, vol. 79, n° 1, pp.
122-123
- 1983. François Richaudeau.
« Calligraphie,
par J. Peignot », Communication
et langages, vol. 57, n° 1,
p. 124
- 1978. Sophie
Bassouls. Trois portraits
photographiques
- 1976. Françoise
Collin. « Laure, écrits,
fragments inédits, préface de Jérôme
Peignot, avec un texte de Georges
Bataille sur Laure, éd. Change
errant », Les Cahiers du
GRIF, vol. 12, n° 1, pp. 84-86
- 1970. Alain
Clerval. «
L'amour a ses princes », La
quinzaine littéraire
- 1967. Alain
Clerval. « Rêveuse
bourgeoisie », La
quinzaine littéraire, n°36 du
1er au 30 octobre, p. 10
- 1967.
Clarisse Francillon.
«
De l'écriture à la typographie »,
La Gazette de Lausanne (?)
- 1967.
François Nourissier. « De
l'écriture à la typographie »,
Les nouvelles littéraires, nº 2072
(18 mai), p. 2
- 1967. Alain
Bosquet. « Jérôme Peignot ou
l'obsession de l'imaginaire ». Le
monde, nº 27 septembre [archive]
- 1971. Armand Got. «
Un écrivain amoureux du Périgord.
Jérôme Peignot, auteur de “La Tour” ».
Sud Ouest, nº 8 juillet
- 1965. Jean
Vuilleumier. «
Grandeur et décadence d'un employé de
bureau ». Tribune de Genève
- 1963. Jean-Louis Bory.
«
De Fenouillard à l'espiègle Lili. Le
film de votre enfance ».
- 1962. Alain Jouffroy.
«
Une passion moderne ». L'express,
nº 11 octobre
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